Sophie Favre

 Sophie Favre est née à Grenoble.Elle commence dés l’age de 5 ans, a dessiner les bonnes sœurs qui défilent dans l’atelier de céramique de sa mère.Au lycée,  elle dessine ses professeurs sous les traits d’animaux familiers.En 1969, elle intègre les Beaux-Arts de Paris dans l’atelier de peinture de Pierre Matthey,et y reste jusqu’à la naissance de son fils.C’ est à partir de 30 ans, qu’elle se met à façonner des sculptures avec la terre.

Au fur et à mesure, les galeries s’intéressent à son travail et exposent ses œuvres.

L’Artiste puise son inspiration dans le vivant, le décalé, le poétique, le drôle, le tragique mais aussi le beau et le laid.
La peinture de la renaissance flamande, la bande dessinée, les gens et les animaux dans la rue, autour de son quotidien l’inspirent également.

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Marc Felten

Marc FELTEN

 

L’œuvre de MARC FELTEN s’inscrit dans la tradition de l’étude et de la représentation du corps humain, un univers original à la confluence du graff, du tag et de l’illustration. Peinture expressive, excessive, énergique, le corps y est clairement exposé, dans toute sa violence, souvent hybride homme-animal ou homme-animal-machine.

Travaillant à partir de dessins, pochoirs et de photographies, MARC FELTEN s’approprie le visuel, déforme l’image pour engendrer de nouvelles formes anatomiques. Puis il réalise sa composition, à l’instinct, libérant sa force créatrice à coups de pinceaux et de brosses pour enfanter d’étranges personnages, construisant littéralement un nouvel être, un nouveau corps…

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Claude Flach

Claude Flach

UN PEINTRE EST UN ÊTRE QUI ÉCRIT AVEC DES LARMES DE COULEUR

Claude Flach qui, par le biais de la création, nous invite à porter un regard singulier sur la sagesse du monde. Je peins des corps qui sont des lignes de vie.Peintre, je témoigne des gestes de l’humain. Chaque geste, pourvu qu’il soit signifiant de l’homme debout, de l’homme en recherche, ou de l’humain à terre. Une façon particulière de regarder la vie.

Né en 1949,peintre autodidacte il se consacre à la peinture depuis 1981.

Nombreuses expositions en galeries et foires d’art contemporain européennes
En permanence à la galerie  depuis 1990.

Après des études en sciences humaines, Claude Flach n’a eu de cesse de cheminer sur les voies de la sagesse extrême orientale.

Depuis plus de trente cinq ans maintenant, l’artiste peint son voyage, son théâtre intérieur pour sans doute,

« effleurer les constructions mentales de l’humain, parvenir jusqu’à l’anima, reconstruire en anamorphoses spatiales les liens qui nous unissent à l’Univers, écrire et réécrire nos fractures sur le palimpseste de la Vie sans fin ni commencement, toucher du bout du pinceau délicat la fragilité des mondes, exister dans l’intemporel pour ne pas juger, éveiller les sens par la couleur, gommer l’égo pour sublimer l’Humain ; et voyager, voyager immobile pour rêver, rêver… de l’Homme debout. » 


Ottmar Hörl

Artiste pluraliste, Ottmar Hörl aime mélanger les matériaux lorsqu’il crée ses sculptures. Ne voulant pas être catégorisé dans « une marque de fabrique » bien définie, le peintre sculpteur pense également que ses arts ne peuvent pas être simplement réduits à une solution unique ou bi ou tridimensionnelle.
L’originalité de cet artiste allemand se traduit par ses sculptures qu’il expose en série, souvent par centaines ou milliers devant des monuments historiques ou dans des lieux publics significatifs et accessibles à la vue de tous.

Par l’ensemble de ses œuvres, Ottmar se veut une personne qui invite à la communication et qui souhaite intégrer le multiple et populaire dans notre vie quotidienne.


Christian Glusak

Christian Glusak Né en 1958 en Alsace, vit et travaille à Mulhouse. De 1983, date à laquelle il quitte les Beaux Arts de la ville, à 2005 il produit une peinture réaliste au plus proche du quotidien vécu qui, progressivement, devient abstraite. Marqué il l’est par la tradition abstraite américaine et française des années 50-80 de Marck Rodko, Jackson Pollock, Robert Moris, James Turrell, de Georges Mathieu, Pierre Soulages.

On note une tentative hyperréaliste en 2005, une autre façon pour lui d ‘aborder l’abstraction;un lieu de la couleur, de ce qui s’y passe, dans un espace sans loi, sans fonction autre que visuelle

En 2003, pour la présentation des « Relations Invisibles », un travail réalisé avec des prisonniers, il aborde la photographie numérique. Un nouvel espace plastique s’ouvre, interroge le réel et reste libre à conquérir. Il trouve à exprimer, au détour d’un motif banal et dans un endroit non situé, son goût pour la composition et la couleur, la manipulation informatique.

PARCOURS en tant que plasticien

2015  » Toz samosc/Identités plurielles « , Woclaw, Pila (Pologne).
2014  » E.=M.C2 Des Maîtres Carrés « , expo de groupe, cité de l’Habitat, Lutterbach(68) – » Toz samosc/Identités plurielles « , MCK à Cracovie,Pologne, Musée des Beaux Arts Mulhouse (expo.de groupe). – » D’ICI et de MARS  » (en compagnie de Vicente Blanchard/scuptures), Kûnstlerbund E.V., Chemnitz (Allemagne).
2013  » D’ICI et de MARS « , Cour des Chaînes, Mulhouse
2010 Habit de Façade (juillet aout), photographies au Musée historique, Mulh.
2002 Peintures à Guebwiller, exposition de groupe. Miroirs et Reflet, exposition de groupe, Mulhouse. Relations Invisibles, Musée des Beaux Arts, Mulhouse. et peinture interactive, 8,5 x 1,8 m, Maison d’Arrêt, Mulhouse.
1996 Enlèvements et Cie, dessins et peintures, La Cour des Chaînes, Mulh.
1987 Mes Amériques, peintures, galerie Au Souffle de Paris, Saint-Louis.
1983 Germination II, jeune peinture européenne à Kassel, Edimbourg, Mulh.


Christophe Hohler

Les personnages que Christophe Hohler met en scène ont quelque chose de fascinant. Le terme de fascinant ne rend pourtant pas avec suffisamment de précision ce qui se produit exactement au moment où nos yeux se posent sur ces personnages. En fait, ces frêles silhouettes s’offrent à nous avec une évidence si déconcertante que nous en sommes bouleversés. En contemplant ces êtres désarmés, saisis à des moments anodins de leur existence, nous réalisons combien nos regards sont conditionnés, entravés. Depuis longtemps, les convenances ont recommandé de ne pas dévisager avec trop d’insistance nos sembla- bles. Ne doit-on pas soigneusement éviter de croiser trop longtemps un regard ? La bienséance nous interdirait-elle aujourd’hui de voir l’autre (de le comprendre) ? Christophe Hohler lève ce tabou, en tant qu’artiste, en tant qu’homme, il refuse de se conformer à ce genre de convention. Alors, quand on lui pose la question d’où pro- viennent toutes ses figures, l’artiste répond en toute simplicité « c’est en peignant que le sujet se révèle ». Voilà un certain temps, en effet, qu’il n’a plus besoin de modèle devant lui pour donner un corps à ses silhouettes. C’est que sa vigilance mentale mobi- lise sa mémoire visuelle et son empathie. Cette fusion guide ses mains, et en quelques traces fulgurantes surgissent Celui-ci, Personnage 12-01, Individu 1, Groupe de réfu- giés… Car il peint vite, très vite. Il faut l’avoir vu, ne serait-ce qu’une fois : en quel- ques lignes colorées, il invente un corps et lui assure l’allure désirée. On comprend alors qu’il a intégré une multitude d’observations et qu’il a mémorisé les formes que peuvent prendre certains états psychiques. Et il les érige en véritables images sympto- matiques. Il modèle la figure avec son jaune, avec le bleu, le rouge. Le rouge surtout, celui de la vie. « C’est en peignant que le sujet se révèle » Claude ROSSIGNOL

 


JOSEPH

Né à paris en 1974.

Issu de la culture populaire, le travail de Joseph est à la fois une célébration ludique de son géniteur superficiel et un commentaire pénétrant sur l’ère du consumérisme. Ces tableaux chamarrés au look rétro trouvent leurs origines dans la BD, la publicité, même les capsules, car l’artiste fête la triomphe l’univers pop dans toutes ses formes. La finition brillante de son œuvre rappelle les panneaux publicitaires émaillés si caractéristiques de la première moitié du 20e siècle, une finition qui convient parfaitement à cet univers idéal et plus grand que la vie. Tandis qu’on regarde ces femmes trop belles, ces gens toujours souriants, on aperçoit dans la surface lisse et implacable comme les personnages qu’elle expose, un reflet pénombre de soi même, une pâle imitation d’imitation: la vie qui imite l’art qui imite la vie.

Si Joseph s’inspire graphiquement de la société consumériste, on ne trouve pas moins cette influence dans la forme de ses tableaux: chaque pièce se compose de plusieurs panneaux attachés de telle façon que, suivant ses coups de tête, on peut les changer de place, les déconstruire, même en rajouter. Joseph pousse le pop art à sa conclusion logique: une forme d’art où le consommateur prend sa place à côté de l’artiste dans le processus créatif.

Tristan Stansbury Worthington


PETER KLASEN

Peter Klasen est né à Lübeck le 18 août 1935.
est un peintre, photographe et sculpteur allemand travaillant sur le thème de l’industrie.
il est issu de la prestigieuse Université des Arts de Berlin.
Dans les années 1960 il a fait parti du mouvement artistique de la figuration narrative avec Valerio Adami, Jacques Monory, Bernard Rancillac et Hervé Télémaque.
Il élabore un langage plastique personnel, il se passionne pour les images sans cesse mise en avant . Son art est facilement identifiable, coloré, mis en page lisible par tous.
l’artiste propose ses  œuvres , afin de provoquer une réflexion sur le monde qui nous entoure, une réflexion critique. Peter Klasen trouve l’équilibre entre sensuel et industriel, entre ce qui lui semble agréable et ce qui lui parait répugnant, entre obscurité et lumière, entre bon et mauvais goût, mettant l’ambiguïté des situations, et donc des êtres, sous le regard de chacun. Son art, fait d’allers-retours constants, se tient entre l’art et la vie.
Ses œuvres sont présentes sur les cimaises de musées internationaux et  de galeries en Allemagne, Italie, France, Etats-Unis, Espagne…
Peter Klasen, vit et travaille à Paris.

Téo Krijgsman

TÉO KRIJGSMAN

À 9 ans, Téo Krijgsman a décidé de devenir photographe lorsqu’un homme l’a pris en photo sur une plage. Cette photo était prise d’une perspective qui fascinait Téo. L’artiste a alors développé son savoir-faire et son style en ayant pour sujet récurrent l’architecture et les gens. Il veut capturer les processus créatifs en général et s’inspire en particulier de la littérature, du cinéma et de la musique.

 


Eric LIOT

Il est né en 1964 , vie et travaille  en France et en Grèce. Eric Liot a étudié l’architecture avant de se consacrer à sa vie d’Artiste.

 Je voulais m’orienter vers le design et la création d’objets, mais la peinture et la sculpture m’offraient plus de liberté.

Il a d’abord été inspiré par les œuvres de César, puis par les sculptures classiques Grecques et Egyptiennes.On retrouve dans ses Œuvres, differentes techniques :peintures, collages, pochoirs et marouflages.


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